Sécurités hydrauliques pour chauffage à combustibles solides (Bois, charbon,
etc.)
Instrumentation de surveillance
Installation à circuit fermé (Vase d'expansion sous pression d'azote)
Les installations de chauffage doivent être équipées d'au
moins :
- Un thermomètre
- Un manomètre
Installation à circuit ouvert (Vase d'expansion ouvert à l'air libre)
Aucunes exigences, sauf spécifications contraires dans les
instructions d'installation des fabricants de générateurs.
Sécurité à la pression :
Pour éviter toute surpression dans une installation fermée (Vase d'expansion sous pression d'azote), chaque générateur (Chaudière bois, poêle hydro, cuisinière bouilleur, etc.), doit être équipé d'au moins d'une soupape de sécurité. Elle sera installée en partie supérieure de la chaudière sans interposition
d'un organe d'obturation totale ou partielle.
Souvent équipée d'un manomètre gradué cette soupape de sécurité
à la pression est généralement tarée à 3 bar. En cas
de dépassement de cette pression, cette vanne s'ouvre et laisse s'échapper
l'eau vers l'égout, évitant ainsi la surpression.
Une baisse de la pression du circuit diminue la température
d'ébullition.
- 100°C pour l'eau à pression atmosphérique.
- 120°C pour l'eau à une pression de 2 bar.
A noter que les installations « à vase ouvert » dont le tube de sécurité ne remplit pas toutes les conditions stipulées dans le DTU 65.11, sont assimilables à des installations fermées donc l'obligation d'installer une soupape de sécurité, un manomètre, un thermomètre, etc.
Sécurités hydrauliques et expansion
Les « dispositifs matériels efficaces » de sécurité ont pour
but d'assurer, de façon permanente et sûre, les fonctions suivantes :
- Permettre l'évacuation d'un excédent d'eau à la
suite d'une défaillance éventuelle des organes de régulation de température ou
de conduite des feux,
- Eviter le manque d'eau aux générateurs,
- Assurer la protection de l'ensemble des
dispositifs de sécurité et d'expansion contre le gel.
Fonction d'expansion :
Permettre, en marche normale, les variations de volume de l'eau
de l'installation du fait de sa dilatation et de sa contraction. On distingue :
- Les installations sans communication avec
l'atmosphère
- Les installations en communication permanente
avec l'atmosphère
Fonction de limitation de température ou de pression :
- Limiter la température de l'eau dans une
installation de chauffage à la valeur maximale prévue, et pour les
installations dites « à eau chaude Basse Température », en tous cas à 105° C.
- Eviter toute surpression dans une installation
fermée.
SYSTEMES D'EXPANSION ( Chauffage à combustibles solides)
VASE D'EXPANSION FERME (Sans communication avec l’atmosphère)
Le vase d'expansion doit être raccordé
sur la canalisation « retour » de l'installation. Il doit comporter un
dispositif manœuvrable (normalement fermé) de purge de gaz et un dispositif
manœuvrable (normalement fermé) de vidange.
La capacité utile du vase
d'expansion doit être au moins égale au volume correspondant à la dilatation de
l'eau contenue dans l'installation entre 0 °C et 105 °C, soit 4,8% en
dilatation.
Il est recommandé, pour des
raisons d'ordre pratique, de donner à la capacité utile du vase d'expansion, un
volume supérieur au minimum imposé. (Volume utile généralement admis est de 6% du
volume total en eau de l’installation y compris le ballon tampon)
La position du vase d'expansion dans
l'installation de chauffage détermine le point neutre du système. À cet
endroit, la pression statique, ou pression finale est toujours constante
indépendamment du fonctionnement de la pompe de circulation.
Cette position
doit être choisie de telle façon que la pression d'aspiration de la pompe soit
suffisante pour assurer un fonctionnement
correct de la pompe, c'est-à-dire pour éviter tout risque de cavitation. D'une manière générale, le vase d'expansion doit
être raccordé sur le retour chaudière, le plus près possible de celle-ci et en
amont du circulateur.
Le point de remplissage doit se trouver
entre le raccordement du vase d'expansion et l'aspiration de la pompe de
circulation.
Dispositifs de sécurité à prévoir en plus avec un vase d'expansion fermé
Avec la mise en place d'un vase d'expansion fermé, il est impératif de prévoir en complément :
- Une soupape de sécurité sur ou en sortie de chaudière (Sécurité contre la surpression d'eau)
- Une soupape de sécurité thermique (Sécurité contre la surchauffe de l'eau)
Vase d'expansion haute
température
La température de l'eau qui
pénètre dans le vase d’expansion à membrane devrait si possible être le plus
faible possible comme sur le retour de la chaudière et inférieure à 70°C ce qui
au contraire avec des installations thermiques à forte inertie comme le
chauffage au bois par exemple en cas d’arrêt intempestif de la pompe de
circulation peut provoquer une surchauffe avec une température bien au-delà des
70°C.
Il faut dans ce cas-là prévoir un vase d’expansion pour haute température ou dans le cas contraire pour
limiter le risque la mise en place d’un réservoir tampon intermédiaire placé
entre le point de branchement sur le réseau chauffage et l’installation du vase
d’expansion permettant d’éviter que l’eau à forte température entre en contact
avec la membrane du vase d’expansion. Son volume doit si possible au moins être
égal à 20 % du volume d'eau de dilation de l’installation.
Ce volume tampon doit être
tout en longueur pour favoriser la stratification de l’eau et sans isolation
thermique permettant
une meilleure dissipation de la chaleur. Le raccordement doit se faire coté circuit
chauffage par le haut et coté vase d'expansion par le bas.
VASE D'EXPANSION OUVERT (En
communication permanente avec l’atmosphère)
Compte tenu de l’évolution
des techniques, l’utilisation de ce type de vase est pratiquement limitée à
certaines installations équipées de chaudières à combustibles solides (bois,
charbon, etc.)
Positionnement de la pompe vis à vis du vase d'expansion
|
- Position P1 : Mauvaise Cette position nuit à la libre expansion et augmente la ligne d'eau dans le vase, créant une perte d'eau
- Position P2 : Acceptable Cette position abaisse la ligne d'eau dans le vase
- Position P3 : Bonne
L'expansion se fait dans un vase à la pression atmosphérique (vase ouvert à l'air libre) placé au point le plus haut de l'installation.
|
Dispositions générales (DTU
65.11 - 5.2.1.1)
Les vases d'expansion à
l'air libre doivent être munis d'un évent et d'un tuyau de trop-plein protégés
contre les risques de bouchage. Le tuyau de trop-plein doit être dimensionné de
manière à pouvoir évacuer le débit massique maximal susceptible d'être contenu
dans l'installation (ceci peut être obtenu en portant le diamètre du tuyau de
trop-plein à une taille au-dessus de celui du tuyau de remplissage).
Les vases d'expansion à
l'air libre ainsi que les tubes de sécurité, d'évent et de trop-plein doivent
être conçus et disposés de manière à éviter tout risque de gel. Il faut donc
éviter les pertes thermiques et calorifuger soigneusement le vase,
La capacité utile du vase
d'expansion doit être au moins égale au volume correspondant à la dilatation de
l'eau contenue dans l'installation entre 0 °C et 105 °C, soit 4,8% en
dilatation. Comme pour les vases d’expansion fermés, le volume utile sera au
minimum de 6% du volume total en eau de l’installation.
L'évacuation du trop-plein
par le système d'évacuation d'eau pluviale est interdite.
Vase d’expansion ouvert
(Ce montage ne permet pas d’assurer la sécurité contre les surchauffes)
Dispositif de sécurité
Les générateurs de chaleur
doivent être reliés à un vase d'expansion à l'air libre et à une tuyauterie de mise
à l'air libre. Le vase d'expansion doit être ouvert sur l'atmosphère.
La tuyauterie
d'alimentation et d'expansion doit être raccordée à la partie inférieure du
vase d'expansion. Sauf spécification contraire dans les instructions
d'installation du fabricant du générateur, les diamètres intérieurs minimaux
des tubes de sécurité-mise à l'air libre et d'alimentation-expansion doivent
être les suivants :
Tube de mise à l'air
libre :
Tube d'alimentation —
expansion :
Dans les équations :
- ds et dfe sont le diamètre intérieur des tuyaux,
en mm ;
- j est la puissance thermique nominale du
générateur de chaleur, en kW.
Contraintes
d’installation
L'isolement des tubes de
mise à l'air libre et d'alimentation-expansion ne doit pas être possible.
Les tubes de sécurité
doivent par ailleurs répondre aux spécificités ci-après :
- le point de jonction d'un tube de sécurité avec
les circuits de chauffage doit se situer à la partie supérieure du ou des générateurs
qu'il dessert, et le plus près possible de la sortie de ces derniers ;
- tout tube de sécurité doit être en principe
vertical. Il peut, à la rigueur, comporter une partie d'allure horizontale à
condition que dans cette partie la tuyauterie soit néanmoins en pente
constamment ascendante vers le vase.
Si l'une des conditions du
présent paragraphe n'est pas remplie, et en particulier si le tube de sécurité
comporte des contre-pentes ou des siphons, la chaudière devra être équipée d'une vanne de sécurité thermique.
Dans ce dernier cas, la
distance entre la partie verticale de la tuyauterie et le ou les générateurs
doit être au plus égale aux valeurs indiquées sur le schéma ci-dessous.
Vase d’expansion ouvert avec chaudière à
forte inertie calorifique (Bois, etc.)
Exemples de générateurs
ayant un foyer de forte inertie calorifique :
- générateurs à charbon automatiques ou manuels ;
- générateurs à fuel à briquetage réfractaire
important, etc.
Dans le cas où une
installation comporte un ou plusieurs générateurs ayant des foyers de forte
inertie calorifique raccordés à un réseau de distribution fonctionnant par
pompe, des dispositions particulières doivent être prises pour permettre en cas
d'arrêt accidentel de la circulation du fluide chauffant, l'établissement d'une
circulation naturelle entre ce ou ces générateurs et le vase d'expansion.
Pour les appareils à
combustible solide, un circuit de distribution de chaleur doit être prévu pour
fonctionner en situation de surchauffe.
Exemple de solution pour la
réalisation d'un circuit direct générateur-vase d'expansion (cas des
générateurs comportant un foyer à forte inertie calorifique)
Vase d’expansion ouvert (Ce montage permet
d’assurer la sécurité contre les surchauffes)
Pour les appareils à
combustible solide, un circuit de distribution de chaleur doit être prévu pour
fonctionner en situation de surchauffe comme par exemple le «coup de feu» à la
chaudière permettant en cas d'arrêt accidentel de la circulation du fluide
chauffant, l'établissement d'une circulation naturelle entre ce ou ces
générateurs et le vase d'expansion permettant l’évacuation de l’excès de chaleur voire de la vapeur produite.
Le diamètre de la
canalisation de mise en circulation du vase d'expansion :
où :
- d est exprimé en mm ;
- P est la puissance du ou des générateurs
desservis exprimée en kW.
Mise en place d’une vanne
électromagnétique normalement fermée. L'ouverture est commandée par un défaut
de circulation dans le réseau principal ou sur manque de courant.
Dans ce cas, la capacité
utile du vase d'expansion doit être déterminée en fonction de l'inertie
calorifique des foyers de ce ou ces générateurs, et, en tout état de cause, ne
doit pas être inférieure à 20 % du volume de l'eau contenue dans l'installation.
Ceci correspond à une véritable
contrainte dans le cas d’un stockage d’énergie par hydro-accumulation. Il est
préférable de s’orienter vers la mise en place d’un vase d’expansion fermé.
Exemple : Chauffage bois, chaudière bois, vase expansion contre les surchauffe
NOTA :
Dans le cas où il n’est pas
prévu le dispositif de circulation naturelle entre le générateur et le vase d'expansion
ouvert, il faudra prévoir une vanne de sécurité thermique au niveau de la
chaudière. La capacité utile du vase d’expansion sera ramenée à 6% du volume
utile.
Dispositifs de sécurité contre la surchauffe de l'eau
Préambule
Il est impératif dans tous les cas de d’installation « vase
d’expansion fermé» ou vase d’expansion ouvert non pourvu d’un montage pour mise en circulation naturelle.
Il doit être constitué obligatoirement d’une soupape de
sécurité thermique simple ou double en injection ou sur une bouteille
anti-ébullition ou sur le corps de chauffe.
Un foyer à combustible
solide doit être installé de telle sorte que les calories produites lors d'une
surchauffe soient dissipées. Deux cas se présentent :
- Surchauffe du ralenti : La chaudière débite
encore 15 à 20% de sa puissance nominale.
- Surchauffe de pleine allure : La chaudière
débite la totalité de sa puissance et peut atteindre jusqu'a 150% de la puissance nominale. C'est le cas lorsque les la chainette du
calorstat est coincée, etc....
La soupape thermique
protège les chaudières de chauffage central contre le risque d'emballement comme pour les chaudières à combustible solide tel que le bois et le charbon,
elle est simple ou double.
Tarée aux alentours de 95 à 100°C elle va permettre d'injecter
de l'eau du réseau (froide) dans l'appareil de chauffage, tout en évacuant le
surplus à l'égout. La vanne se fermera
automatiquement dès que la température redescendra au-dessous de 95°.
Cette sécurité laisse le circuit sans manque d'eau après son
action, elle est fréquemment jumelée à un limiteur de pression réseau si le
réseau est à plus de 2.5 bars.
On trouve différentes soupapes de sécurité thermique, comme par
exemple :
- La soupape de sécurité thermique raccordée sur le serpentin anti-ébullition intégrée à la
chaudière.
- La soupape de sécurité thermique externe à la
chaudière avec remplissage intégré (Chaudière en acier en général)
- La soupape de sécurité thermique associée avec une bouteille anti-ébullition externe à la chaudière
(Chaudière fonte en général)
Serpentin anti-ébullition intégrée à la
chaudière.
La chaudière est équipée d’un serpentin anti-ébullition mis en
place par le fabricant. La soupape de sécurité thermique est installée sur la
tuyauterie de sortie du serpentin.
La sonde s’installe sur la partie haute de la chaudière ou sur
la tuyauterie de départ avant tout organe de réglage et à 50 cm maximum de la
chaudière.
Quand la température limite est atteint 95°C, la soupape laisse
échapper l’eau chaude du serpentin vers l’égout et admet une quantité
équivalente d’eau froide provoquant ainsi une circulation d’eau dans le
serpentin permettant de refroidir la chaudière.
Il faut vérifier la conformité du système antipollution de
l’eau froide sanitaire.
Dans la plupart des cas un clapet anti-retour est indispensable
sur l’alimentation de l’eau froide du serpentin anti-ébullition.
La soupape de sécurité thermique externe à la chaudière avec remplissage
intégré (Chaudière en acier en général)
Il est possible sur des chaudières ou des réchauffeurs de foyer
en acier, d'injecter l'eau de refroidissement directement dans le retour du
circuit de chauffage. L'acier ne risque pas un éclatement comme la fonte.
Le dispositif combine dans un même appareil, la soupape de
sécurité thermique et une vanne d’alimentation en eau froide qui fonctionnent
simultanément, le tout commandé à distance par un bulbe de température à
capillaire à sécurité positive. Lorsque la soupape s’ouvre, cette vanne
d’alimentation garantit la circulation de l’eau et refroidit le foyer,
préservant ainsi l’intégrité de la chaudière
Le doigt de gant du bulbe de température, fourni avec la
soupape, doit être monté sur la tuyauterie de départ ou sur la partie haute de
la chaudière et avant la tuyauterie de décharge de la soupape, à une distance
maximum de 0,5 m de la chaudière.
Bouteille anti-ébullition externe à la
chaudière (Chaudière fonte en général)
Certains fabricants de chaudières
en « fonte » ont cet inconvénient de ne pas proposer un système de
boucle de refroidissement intégré à la chaudière qui permettrait de les
utiliser avec un vase fermé.
Dans ce cas on a soit la
possibilité d’installer, soit :
- Un vase d’expansion à l’air libre
- Un refroidisseur extérieur type « bouteille
anti-ébullition », raccordé en thermosiphon et refroidi avec de l'eau de
ville, comme tous ces systèmes de sécurité qui sont asservis à une soupape thermique. Cette option est assez onéreuse.
(Chaudière fonte)
Principe de fonctionnement
La circulation d’eau de
chauffage ne se fait pas « coupure de courant, arrêt du circulateur » Le
circuit en thermosiphon s’établit, la sonde de la soupape étant influencée par
la température de la chaudière limite à 95°C,
la soupape thermique
s’ouvre ceci permet l’écoulement de l’eau de ville à travers le serpentin
conservant ainsi l’eau sous forme liquide et non vapeur, le foyer de la
chaudière se refroidira sans subir de choc thermique.
La sonde de la soupape
thermique devra être implantée au plus près du départ eau de chauffage de la
chaudière à l’aide d’un doigt de gant.
Les tuyauteries de départ et de retour ne doivent comporter
aucune vanne d’arrêt susceptible d’isoler le bouilleur de l’installation à
chauffer et de ses organes de sécurité
Dispositifs de protection contre le retour à basse température à la chaudière
Sécurités hydrauliques sur les générateurs de chaleur à combustibles solides
Les chaudières à
combustible solide fonctionnent à des régimes très variables. Le bois sec pour
le chauffage peut contenir encore le cas échéant 25% d’humidité, il faut donc
éviter tous risques de condensation en maintenant le retour dans la chaudière à
une température d'au moins 56°C
Pour éviter l’apparition de
la corrosion dans la chaudière, la circulation entre la chaudière et les
émetteurs de chauffage y compris le stockage d'énergie s’il existe doit être
inexistante aussi longtemps que la température de retour à la chaudière n'a pas
atteint la température de 60….70°C.
Le montage du réseau hydraulique permettant la protection de la
chaudière contre les retours froids consiste à créer un by-pass entre le départ et le retour de la chaudière avec
l’installation d’une vanne trois voies thermostatique directionnelle associée à
une pompe de recyclage sur la chaudière.
La vanne thermostatique permet de recycler entièrement l'eau de
départ de la chaudière vers le retour, afin d'atteindre rapidement la
température idéale de fonctionnement dans la chaudière. Lorsque la température
de consigne est atteinte l'eau chaude commence à réchauffer progressivement le
départ du circuit chauffage et le ballon de stockage s’il existe.
L'eau de retour du ballon est mélangée à l'eau de recyclage, ce
qui permet d'éviter un retour trop froid et la formation du point de rosée dans
la chaudière. Lors de la chauffe normale, la vanne assure la circulation entre
la chaudière et le circuit de distribution chauffage.
La pompe de recyclage
est pilotée par le thermostat réglé sur 55…60°C et placé sur la chaudière ou
sur le départ permettant son fonctionnement que lors de l’utilisation de la
chaudière.
On trouve principalement deux types de montages :
- Montage N°1 - Montage simple à réaliser. En cas
de défaillance du circulateur, il y a risque d'emballement et donc de montée très
forte de la température sur la chaudière.
- Montage N°2 - Il est plus sûr tout en étant un
peu plus compliqué à réaliser. Il présente l'avantage de pouvoir fonctionner en
thermosiphon en cas de défaillance du circulateur.
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